Il ne faut pas mettre la che tirarrue avant le boeuf.

D'abord il faudrait cesser de se rendre prisonnier du calendrier electoral qui nous tétanise.

La il n'y a pas d'élection avant l'année prochaine,d'ou cette fenètre de tir,mais l'enjeu reste de créer nos propres espaces,notre propre calendrier,la séquence politique etlics sociale qui se trame autour des cheminots,des services publc du rejet de la politique pour les riches de Macron peut etre féconde,potentiellement,plusieurs milliers de personnes vont peut etre reprendre confiance dans leurs propres forces et croire à nouveau à la possibilité de résister et de réfléchir ensemble.

Cela implique de gagner,en unifiant nos luttes et en généralisant la grève.

La bataille du rail aura t'elle lieu

La seconde.

La premiere fut glorieuse et sesouvent meurtrière,l'ennemi était à Berlun et à Vichy aujourd'hui à Bruxelles et à l'Elysée.

Les troupes étaient nombreuses:500 000 cheminots.

Aujourd'hui il en reste moins d'un quart,et les temps ont bien changé,car malgré les collabos,,l'occupant,le chemin de fer était un grand service public incontesté.

En reste t il un seul aujourd'hui?

Fermetures d'hopitaux, de bureaux de poste,,seules les banque prolifèrent.

Alors il est grand temps de se mobiliser pour défendre ce qu'il en reste.

La première bataille du rail  était loin d'etre gagnée d'avance,pourquoi la seconde serait elle perdue?

Alors demain 22,public,privé tous dans la rue.

Venu du Soudan,Karim Ibrahim avait fui la dictature pour la France.

Il est mort sur une bouche d'égout,le 8 mars à quelques mètres du centre d'acceuil"La Bulle" porte de la Chapelle.

Une centaine de riverains et de réfugiés lui ont rendu hommage dimanche et sur l'une des pierres disposées pour éviter la constitution de camps est gravé:"Salut à toi le Soudanais"

Honte à une société qui laisse des gens mourir dans la rue.

Réquisition de tous les logements vides.

Avec le greve des surveillants de prison un certain discours s'set répandu à pointer du doigt la "dangerosité" des détenus, comme si les plus de 70 000 détenus étaient tous des fauves prets à sauter à la gorge dheu  premier agent.

Comme si la déprime qui ronge les prisons ne tenait pas d'abord à l'institution elle meme.

Dans cette greve les détenus ont été oublié deux fois,dans leurs cellules d'abord,pas de sortie, pas de parloir,sans la moindre activité,sans la moindre promenade,sans douche dans les établissements ou les cellules en sont dépourvues.

Oubliés des revendications comme si les surveillants et les détenus n'étaient pas dans le meme bateau.

Il y a queque chose de pourri dans l'institution  de la prison.

O société qui voudrait partout ériger des murs,cacher ce qui gène,tenir à l'écart tout ce qui fait grain de sable dans les rouages du bel ordonnancement,,les  vieux,les paumés,les déviants,les improductifs,les inadaptés,comme elle tient désormais à l'écart,les migrants

L'institution de la prison est à l'image de la société:POURRIE

C'est champagne pour les patrons de la siderurgie européennee ,4,6 milliards de profit pour Arcelor Mittal en 2017 qui va racheter 100 millions d'actions pour enrichir ses actionnaires,lesquel vont recevoir un joli dividende.Aperam,lui n'a plus de dettes et meme 75 millions de trésorerie.

Comment ce miracle s'e.st il produit alors que les patrons pleuraient misère il y a 2 ans?

C'est le résultat de la suppression de 100 000 emplois et la fermeture de 10 millions de tonnes de capacités  de production.

C'est tout un résumé du fonctionnement aberrant du capitalisme qui réduit les uns au chomage et appauvrit la collectivité pour une poignée d'actionnaires nagent dans dans le fric.